1er soir de vacances
La rumeur de la rue se mêle à un tango-synthétiseur. 9 heures de route. Après un aperitivo festif et un souper bien garni, la petite famille se glisse entre les draps. Chaque année, on y revient en pensant que c’est la dernière… eh puis, on rit aux éclats, plus fort que les autochtones, les mêmes rengaines, les mêmes joies qui viennent du fond du cœur, ces soirées valent tellement ces heures de route que l’on revient .. toujours pour une dernière année. On croise les mêmes gens, on se demande s’ils seront là ; on se souvient de ceux qui ne viennent plus. La larme à l’œil, on y retourne parce que c’est ça la vie, parce qu’il le faut. Merci Igea Marina, la petite station balnéaire que l’on ne peut aimer que si l’on y est un habitué…