« Parla più piano ».

Trois week-ends dédiés à la trilogie du « Parrain ». La tragédie moderne. La musique est déchirante, les acteurs si crédibles qu’ils ont trouvé là le lancement de leur carrière. Le destin de gens qui avaient des idéaux, tout en ayant les pieds dans la misère, le nez vers la légitimité. Une illusion hors d’atteinte puisque l’homme est homme… un désarroi face au désastre d’une vie dédiée à l’élévation pour la survie et la sauvegarde de la famille. Elle qui est tout, comme dans ce village lointain de Sicile, comme dans tant de villages. Cette nostalgie d’un passé ancestral et idéal. Un passé de vengeance et de valeurs. Un passé dont l’essence coule dans leurs veines.

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