« Je ne voudrais pas crever sans avoir... »

... entendu Camus et sa Chute,

écouté Garry et ses incertitudes,

savouré Bukowski, ce vieux dégueulasse,

imité Vian, parce que c’est divertissant,

chanté les Passantes de Brassens,

lu et relu quelques classiques,

ri en écoutant Édouard Baer, ce grand guignol,

élaboré quelques « élucubrations, frappée par la grâce », 

compris ce titre,

réfléchi à la fuite de soi-même,

été « un enfant et un héros »,

pensé au jeu de chacun dans la comédie de la vie,

tout ressenti ce soir,

assisté à son dernier spectacle,

Le dernier spectacle avant longtemps.

Merci Édouard, merci le théâtre, merci l’Art.

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