Une nuit

« La notte » pour palper l’ennui dans sa profondeur. Un vide entre deux êtres pris par la routine, que les mondanités ne distraient pas. Un Marcello qui joue l’artiste maudit et détestable, une Jeanne tout en noblesse et dignité, enfin Monica qui peut tout mais croit n’être rien. Des cadrages qui rendent l’esthétique du film sublime, des dialogues philosophiques, un luxe qui sert l’essence des relations humaines. Merci Michelangelo Antonioni; merci la cinémathèque suisse! 

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