Pulmex

Des cris stridents de franche rigolade. C’est la poitrine la plus sensible, après les pieds et le dos. On a tous ce souvenir de la friction au pulmex avant nos nuits enrhumées. C’est maman ou grand-maman qui s’y collait en nous appliquant l’onguent décapant. L’odeur vous prend encore les sinus et vous vous tortillez rien qu’à son souvenir. Alors vous riez de bon cœur, ému, lorsque vous appliquez le même soin à vos enfant avec un onguent plus naturel, plus XXIe siècle mais qui fait le même effet. Ils en redemandent, tous les soirs, même si le rhume est passé et c’est toujours les mêmes fous-rires.

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